« En cadeau pour Noël, offrez « L’histoire des capucins » ou la mémoire de l’Arsenal de Brest… Marie Hélia s’est penchée sur la mémoire de ceux ayant imprimé les murs de l’Arsenal de Brest. Photographies de Mathieu Le Gall et avec la voix de Christophe Miossec. Marie poursuit sa réflexion sur le travail avec un court de 5’20 intitulé « La question du travail ». Vous le découvrirez ici bientôt.
Encore du côté des filles, nous vous recommandons « Let’s go » diffusé bientôt sur F3 Normandie, soit l’histoire de deux comédiennes oubliées à Hérouville Saint Clair. Sur des textes de Leslie Kaplan (quel honneur…) , Frédérique Lolliée et Elise Vigier jouent avec les habitants de la ville sous la houlette de Lucia Sanchez à la réalisation.
Notre première comédie Web docu que vous découvrirez bientôt sur France 3 Normandie et notre site.
Drôlerie, rêverie…est-ce encore possible dans un monde si réel et si matérialiste ?
La Fille de Brest poursuit son beau parcours en salles et ça marche… Emmanuelle Bercot a signé une impeccable Fille de Brest . Résultat un succès en salles, la Bretagne en tête. Bravo Emmanuelle et Irène Frachon. Le courage existe…et l’on peut continuer à écrire des histoires, et vouloir les porter à l’écran.
L’année fut donc intense, à la mesure de ce monde fou qui va si vite. Et si les films permettaient de le ralentir ? Pour réfléchir, rêver sans gros mots.
Les filles de Paris-Brest comme toujours ont carburé. Nadine Naous a parcouru le monde avec « Home sweet home » où il est question de son père-professeur dans une école laïque à Beyrouth. Comme quoi l’humour et les idées peuvent cohabiter dans un documentaire. Résultat. Une étoile à la Scam ! Deux films se préparent avec Nadine.
Nadja Harek interroge aussi son père dans « Ma famille entre deux terres ». Après le Liban, l’Algérie…Elle vient de remporter le prix de Tanger.
Sylvia Guillet a retrouvé les traces d’une « femme effacée » et l’a révélée libre et indépendante. Le film a enchanté les soirées du mois Documentaire, des éléves avec leurs professeurs ont travaillé sur la photographie amateur.
L’année 2016 se termine aussi avec deux films courts exceptionnels. Deux films de garçons une fois n’est pas coutume !
Un premier film de François Le Gouic. 27 ans rennais. Vous allez bientôt découvrir « Voir le jour » à Morlaix là où a été tourné le film. RDV dimanche 15 janvier à 16h au cinéma La Salamandre. Voici un film empreint de philosophie, de poésie même si le mot fait peur à certains. A signaler 4 acteurs exceptionnels : Olivier Bonnaud, Maud Wyler, Sylviain Dieuaide et Valentine Catzéflis, et une rimbabelles de petits bonhommes.
L’autre film « Mer » d’Olivier Broudeur confronte un homme aux éléments. L’homme nage, lutte pour la vie. C’est le début de notre collection sur le thème combat initié en collaboration avec les télévisions locales de Bretagne, avec un film hors du commun.
De mon côté j’ai suivi Jean-Christophe Spinosi « L’homme aux violons » le temps d’une saison entre Brest Moscou l’Olympia et le Japon. j’espère bientôt vous faire partager sa passion dévorante pour la vie et la musique. Un chef d’orchestre à découvrir. Sans fards.
Donc souhaitons nous bonne année 2017, avec en encore des films de Marie, Nadine, Sylvia, en gestation : François, Olivier…des nouvelles comme Claire ou Karen…
Souhaitons nous surtout un meilleur monde, loin des mauvais esprits et des oiseaux de mauvaise augure. Nous tentons de ré-enchanter le monde avec nos histoires sans en faire un repaire de bisounours…