Chers amis,

à l’occasion du festival Travelling, Paris Brest Productions vous présente quelques uns des réalisateurs dont vous dégusterez les films les 12, 13 et 14 Février à Rennes, un charmant village à deux pas de Vezin Le-Coquet.

Aujourd’hui, Parlons du Vivier, parlons de Sylvia… Sylvia Guillet.

C’était quoi votre point de départ, votre envie ?

Je voulais raconter une histoire d’amour. Je voulais aussi faire un film autour de la transformation d’un corps, inspirer de Kafka et sa métamorphose.

Vous le referiez, vous changeriez quoi ?

J’essaierais peut être de donner plus de clés au spectateur sur le personnage de la jeune femme, qu’elle soit moins énigmatique, plus accessible.

Vous vous souvenez de votre premier jour de tournage de votre premier film ?

J’avais peur mais j’étais très heureuse.

Le silence est ponctué de cris d’iphone, là, derrière les piles de scénarios, on distingue une silhouette, un homme caféiné, un producteur de cinema. 

OLIVIER BOURBEILLON

Je me souviens encore de l’impression de force du film à l’issue du premier montage. Incroyable, il n’y a rien à comprendre sinon de l’émotion à l’état brut.